La lettre de Cyclopède N° 69 octobre 2016

la lettre de Cylopède du mois d'octobre vient d'être publiée par les adhérents de l'association.

Au sommaire :

• la journée PARK (ing) day du 17 septembre

• Un point sur la rencontre avec la municipalité

• Un point sur les réalisations de la ville en faveur des piétons et des vélos

• Une brève sur la zone piétonne

• Un point sur les zones de stationnements pour vélo sur la ville de Montluçon

• Un reportage sur les pistes cyclables dans les autres villes

Télécharger LdC n° 69

La lettre de Cyclopède N° 69 d'octobre 2016 en PDF pour celles et ceux qui souhaitent l'imprimer et la distribuer.

Comments

[Vroummm]

A quand une journée sans vélo à Montluçon?

[mèregrand]

Selon les adhérents de l'association, le plus tôt serait le mieux. Seulement, les choses ne sont pas aussi simples qu'il n'y parait, en effet :
*la majorité des commerçants y est opposée au prétexte « qu'il n'y a plus personne ces jours là» ; ce qui est en parti vrai car les montluçonnais n'y sont pas habitués...
*les riverains sont également hostiles car « ils ne peuvent plus sortir de chez eux »
*la ville n'est pas du tout adaptée pour un transport alternatif:vélo, bus, tram, etc...Tout le monde sait parfaitement que c'est le bazar quand le boulevard est barré et que les rues adjacentes sont très rapidement saturées. Un plan de circulation mûrement réfléchi, abondamment et clairement fléché s'avère nécessaire et fondamental,
*la population est d'une moyenne d'age élevée (et pas habituée non plus !) avec peu de touristes,
*malgré les efforts des uns et des autres et notamment de l'association, le mode de transport que nous préconisons (vélo et piéton) reste marginal par rapport à certaines grandes villes.

Dans la réflexion qui menée, la sagesse veut que cette journée « sans voiture » s'installe progressivement, par exemple : 1 dimanche ou 1 samedi par mois, puis 2 ? assortie d'une large information au préalable des usagers (en effet, rien de plus désagréable que de se cogner à une barrière métallique en travers de la rue alors que l'on est pas informé et que l'on a un impératif ce jour là).
L'objectif étant de convaincre plutôt que d'imposer ce qui aurait un effet contre productif et pourrait mener à un abandon pur et simple avec une grande chance de non retour.
Enfin, lorsque tout le monde aura compris que cette journée sans vélo apportera premièrement moins de bruit et de pollution, deuxièmement que les piétons sont plus agréables et généralement plus nombreux dans les zones piétonnes, alors le tour sera joué !
Mais il reste encore du chemin à parcourir, à pied ou à vélo bien sûr...